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lundi 30 septembre 2019

SAGA - Age de la Magie : Grand Royaume contre Peuple de la nature.

En ces moments ou certains se demandent s'il y a un réchauffement ou dérèglement climatique, s'il ne serait pas temps d'intervenir avant d'aller droit dans le mur, nous faisons une partie de SAGA dans la même thématique...ou presque.

En effet le Grand Royaume de la capital Iste n'en peuvent plus de ces créatures néfastes de la forêt. Car il faut le dire, si tu as de la forêt, c'est que tu ne peux pas y mettre une ville, donc des auberges pour les soudards, des ateliers pour forger des armes, enfin bref, si tu as de la forêt tu ne peux pas gagner de pièces d'or. Donc allons tout déboiser.

Direction la forêt des p'tits n'hérissons ou se terre la diablesse Deb assistée de son fidèle bras droit et capitaine de sa garde Lenwelin.

Le scénario est Ripailles et pillages.
 Je place mon autel rituel en haut de table, et le duo d'elfes, la forêt sacrée est en bas.
 Le déploiement initial :
Je place un canon immobile en haut, un paladin proche de la forêt avec une unité de garde. Puis sur la colline, 2 gardes à cheval, 1 unité de guerriers et 1 unités de levées, avec 1 paladin, 1 capitaine, le sorcier et mon seigneur.
La Nature :
1 griffon, 2 créatures, 12 guerriers archers avec bannière, la sorcière, 4 gardes arc composite, 8 guerriers, 2 créatures,  et le capitaine avec la cheftaine.
 La garde à cheval s'approche d'un objectif.
 Les arbres s'avancent vers mon autel pour lui retirer mon pouvoir.
 Je m'approche avec mes levées de mon autel sacré, et avance tranquillement ma troupe.
 Puis le seigneur du Mont Santo, Paladin de son état fonce sur les vils créatures de forêts animées. Ce sont des œuvres du malin, abattons-les. Il se jette sur eux et les frappe de sa croix empoisonnée au désherbant ! Il terrasse le mal, mais succombe également. Stupeur dans les rangs ennemis qui prennent une fatigue à C du drame.
 Dans un élan de vengeance, la garde montée sonne la charge au crie de Vengeance du Mont Santo !
Il semble impossible que ces gardes elfes puissent s'en sortir ! Je multiplie les dés d'attaque et de défense, alors que les elfes n'ont que leur yeux pour pleurer en dehors de leur dés de base. Il n'ont que 4 malheureux dés contre quelques chose comme 14 dés d'attaques et 3 de défenses.
En théorie je l'explose...mais ça c'est la théorie. Et donc de 4 magnifiques chevaliers...
Il ne m'en reste plus qu'un...contre aucune perte. Mon plan diabolique de lui mettre des fatigues partout tombe en miette.

 Je lance quand même mes 2 autres guerriers sur son seigneur qui malgré tout a des fatigues.
Le seigneur va enfin tomber !
De l'autre côté, le griffon s'approche dangereusement de mon engin de siège.
 
 Ce dernier lui tire plusieurs fois dessus, mais le volatile évite facilement les boulets.
 Mais ce griffon n'est pas seul, 2 créatures de la forêt maudite sont également en approche, sous le regard de ma garde à pieds et du Paladin Raound Heup.

Ce dernier est bien décidé à détruire cette erreur de la nature.
Mais ce satané piaf tient le coup et le seigneur du désherbage part en fumée.

Bref, rien ne va plus pour les grands royaumes.
J'ai beau lui péter quelques troupes, les rangs de mes chevaliers sont décimées, mes guerriers à pieds dans le bois n'arrivent pas à détruire les archers elfes, malgré le soutien de mon capitaine, des arbalétriers et du sorcier. Pire encore, les 12 elfes sortent du bois et massacres mes derniers chevaliers. Mon seigneur se prend un sort critique (et le mage elfe n'a rien), il est épuisé...De justesse il ne meurt pas.
C'est une victoire de 24 contre 19 pour les Elfes.

Bonne partie.  Mais les soldats du Grand Royaume vont pleurer le seigneur du Mont Santo pendant longtemps.

















1 commentaire:

  1. C'est quoi ce bazard ! La très Sainte Ligue du Grand royaume ratatinée comme cela par des planches et de la verdure... tout fou le camp. Et un canon, ça s'escorte. Mes condoléances à la famille du seigneur du Mont Santo, c'était un être fort urbain, là où il passait l'herbe ne repoussait pas. Gloire à sa mémoire.

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