Dans le cadre du NIP, j'ai proposé de refaire la bataille de Hanau.
Pour ce faire, les 2 camarades du jour furent RV qui a pris le commandement des forces Austro-bavaroise, alias De Wrède et Swabalaf qui le seconde avec le corps de Fresnel.
La situation au petit matin, De Wrède sait que l'ennemi arrive, mais il ne sait pas d’où ni quand.
La citadelle est normalement sous bonne garde.
De Wrède à droite et Fresnel à gauche.
Le Freikorpf de Mensdorff-Pouilly garde un des accès de la route de Francfort.
10h les Français déboule dans le bois. Le Maréchal Victor attaque la position des Grenzer en tirailleur dans le bois.
Puis c'est au tour d'Albert de chasser les tirailleurs des compagnies d'élite bavaroise. La cavalerie de Sébastiani commence à arriver, ainsi que la Jeune garde de Lefebvre-Desnouëte.
Mac Donald qui dirige l'armée ordonne la sortie du bois de Lambois.De Wrède est alerté l'ennemi est la.
Fresnel interroge de Wrede...enfin Swabalaf et RV se dise que vraiment, historiquement De Wrède s'est placé n'importe comment !
Alors le général Bavarois essaye de corriger le tir, et envoie ces estafettes à la rescousse de Fresnel
Le corps de Fresnel se fait enfoncer.
Les renforts français en cavalerie se poursuivent. La division lourde est en approche.
Fidèle à l'ordre reçu, Fresnel passe à l'offensive, il obéit et se fait châtier.
Les Bavarois repartent en sens inverse.
Tandis que la cavalerie de Volkman est en réserve.Victor tient le pont.
La ligne de front se dessine.
Les bavarois de la division Beckers refluent vers la seule hauteur de la zone en déroute.
Beckers se doit de reprendre le pont, encore ! Mais à nouveau il doit refluer.
Napoléon confiant dans la résistance du pont grâce à Victor, indique à Mac Donald de poursuive son effort. Il veut déblayer la plaine et la colline...sans franchir le pont de droite fortement tenu par les bavarois de la division Lamotte.
Et la garde arrive enfin à 12h30.
La situation à 12h30 :
L'aile de Fresnel est disloquée. La division Beckers quasi inexistante. La cavalerie de l'avant-garde de Volksman n'a toujours pas recu d'ordre. Seul le régiment autrichien Jordis a recu l'ordre de passer à droite vers la route de Francfort.
Les grenadiers Autrichiens de Trautenberg n'ont toujours pas reçu d'ordre..c'est pas faute d'essayer pourtant. La cavalerie austro-bavaroise attends également. La division bavaroise de Lamotte fait face au pont du centre. Le régiment autrichien Rudolf s'etend de tout son long pour bloquer la route de Francort. Quant à Mensdorff-Pouilly il est quasiment ignoré.
Pour les français, tout va bien. Le pont de Lambois est tenu par Victor, la plaine devant Neuhof libérée. La batterie sur la colline va surement être emportée et la garde arrive enfin.
Depuis presque 2h une des 2 brigades de Lamote s'est mise en carré et subit le feu de l'artillerie française. Pourtant Sébastiani ne passe pas à l'attaque contre eux.
Napoléon poursuit la baïonnette dans les reins des bavarois sur la colline.
La Vieille Garde montre son nez à la lisière de la forêt.
La cavalerie de la Vieille Garde arrive à son tour.
Chargezzzzzz !!!
Les lourds de Sébastiani passe à l'assaut. Les bavarois tentent la formation en carré creux. Le corps de Gérard attaque à travers le pont, la brigade en carré qui est sous un déluge de feu depuis plusieurs heures.
De Wrède à réussi à faire déplacer son artillerie lourde en la mettant à l'abri des marais. C'est la cavalerie de la jeune garde et les Lanciers hollandais d'Ordano qui vont en faire les frais.
Pendant ce temps, les lourds de Sébastiani enfonce le centre du dispotif
La cavalerie se fait face.
Mais le choc viendra des Chasseurs de la garde et du corps de Gérard qui vont prendre en tenaille le régiment Rudolf.
C'est à ce moment que les grenadiers autrichiens attaquent devant la citadelle d'Hanau. Albert recule !
Mais sur l'aile gauche des austro-bavarois, le dernier espoir tient en la grande batterie et la fière cavalerie.
Mais en face, les Grenadiers à cheval et les Gendarmes de Walther ne veulent pas être en spectateur. Ils chargent en colonne !
Et les Grenadiers de la Garde de Friant se forment en carré et laisse venir à eux les chevaux léger bavarois de Bierer..
Le choc risque d'être létal.
Pendant ce temps Drouot à former une grande batterie...5 au total pour faire un tir de contre batterie. La puissance française s'exprime à fond. L'artillerie Austro-bavaroise est quasi-réduite au silence.
Et bis répétita...Sauf que là, les Grenadiersà cheval se déploient, à pieds pour recevoir encore une charge.
Il est 15h...la bataille est fini pour de Wrède. Les français ont eu très peu de perte...surtout de la cavalerie grâce au bouche à feu austro-bavaroise.
Mais la victoire est totale pour Napoléon. La route de Francfort est libre, l'ennemi est en totale déroute ou est réfugié impuissant dans la citadelle d'Hanau.