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lundi 14 novembre 2022

NIP : Ldb - La bataille de Hanau 30 octobre 1813

 Dans le cadre du NIP, j'ai proposé de refaire la bataille de Hanau.

Pour ce faire, les 2 camarades du jour furent RV qui a pris le commandement des forces Austro-bavaroise, alias De Wrède et Swabalaf qui le seconde avec le corps de Fresnel.

La situation au petit matin, De Wrède sait que l'ennemi arrive, mais il ne sait pas d’où ni quand.

La citadelle est normalement sous bonne garde.

De Wrède à droite et Fresnel à gauche.

Mais y a pas un truc la se demande les 2 joueurs...
Le Freikorpf de Mensdorff-Pouilly garde un des accès de la route de Francfort.
10h les Français déboule dans le bois. Le Maréchal Victor attaque la position des Grenzer en tirailleur dans le bois.

Puis c'est au tour d'Albert de chasser les tirailleurs des compagnies d'élite bavaroise. La cavalerie de Sébastiani commence à arriver, ainsi que la Jeune garde de Lefebvre-Desnouëte.

Mac Donald qui dirige l'armée ordonne la sortie du bois de Lambois.

De Wrède est alerté l'ennemi est la.

Fresnel interroge de Wrede...enfin Swabalaf et RV se dise que vraiment, historiquement De Wrède s'est placé n'importe comment !

Alors le général Bavarois essaye de corriger le tir, et envoie ces estafettes à la rescousse de Fresnel

Le corps de Fresnel se fait enfoncer.

Pire, il reçoit l'ordre de contre attaquer sur le village de Neuhof et sur le pont de Lambois, au pire moment.
Les renforts français en cavalerie se poursuivent. La division lourde est en approche.
Fidèle à l'ordre reçu, Fresnel passe à l'offensive, il obéit et se fait châtier.

Les Bavarois repartent en sens inverse. 

 Tandis que la cavalerie de Volkman est en réserve.

Victor tient le pont.

 La ligne de front se dessine.

 Les bavarois de la division Beckers refluent vers la seule hauteur de la zone en déroute.

Pendant ce temps la, Sebastiani n'a toujours pas reçu l'ordre de sortir du bois. Mais fort heureusement l'Empereur arrive.
Beckers se doit de reprendre le pont, encore ! Mais à nouveau il doit refluer.
Napoléon confiant dans la résistance du pont grâce à Victor, indique à Mac Donald de poursuive son effort. Il veut déblayer la plaine et la colline...sans franchir le pont de droite fortement tenu par les bavarois de la division Lamotte.
Et la garde arrive enfin à 12h30.

La situation à 12h30 :

L'aile de Fresnel est disloquée. La division Beckers quasi inexistante. La cavalerie de l'avant-garde de Volksman n'a toujours pas recu d'ordre. Seul le régiment autrichien Jordis a recu l'ordre de passer à droite vers la route de Francfort.

Les grenadiers Autrichiens de Trautenberg n'ont toujours pas reçu d'ordre..c'est pas faute d'essayer pourtant. La cavalerie austro-bavaroise attends également. La division bavaroise de Lamotte fait face au pont du centre. Le régiment autrichien Rudolf s'etend de tout son long pour bloquer la route de Francort. Quant à Mensdorff-Pouilly il est quasiment ignoré.

Pour les français, tout va bien. Le pont de Lambois est tenu par Victor, la plaine devant Neuhof libérée. La batterie sur la colline va surement être emportée et la garde arrive enfin.

13h, l'artillerie de la garde point son nez.
Depuis presque 2h une des 2 brigades de Lamote s'est mise en carré et subit le feu de l'artillerie française. Pourtant Sébastiani ne passe pas à l'attaque contre eux.
Napoléon poursuit la baïonnette dans les reins des bavarois sur la colline.
La Vieille Garde montre son nez à la lisière de la forêt.
La cavalerie de la Vieille Garde arrive à son tour.

Chargezzzzzz !!!

Les lourds de Sébastiani passe à l'assaut. Les bavarois tentent la formation en carré creux. Le corps de Gérard attaque à travers le pont, la brigade en carré qui est sous un déluge de feu depuis plusieurs heures.

14h...c'est un peu la foire côté bavarois. Le régiment Jordis fait la queue derrière les grenadiers autrichiens qui enfin ont reçu l'ordre d'avancer. Mais ils sont retardés par les fuyards bavarois. Lamote n'a pas tenu !
De Wrède à réussi à faire déplacer son artillerie lourde en la mettant à l'abri des marais. C'est la cavalerie de la jeune garde et les Lanciers hollandais d'Ordano qui vont en faire les frais.
Pendant ce temps, les lourds de Sébastiani enfonce le centre du dispotif
La cavalerie se fait face.
Mais le choc viendra des Chasseurs de la garde et du corps de Gérard qui vont prendre en tenaille le régiment Rudolf.
C'est à ce moment que les grenadiers autrichiens attaquent devant la citadelle d'Hanau. Albert recule !
Mais sur l'aile gauche des austro-bavarois, le dernier espoir tient en la grande batterie et la fière cavalerie.
Mais en face, les Grenadiers à cheval et les Gendarmes de Walther ne veulent pas être en spectateur. Ils chargent en colonne !
Et les Grenadiers de la Garde de Friant se forment en carré et laisse venir à eux les chevaux léger bavarois de Bierer..
Le choc risque d'être létal.
Pendant ce temps Drouot à former une grande batterie...5 au total pour faire un tir de contre batterie. La puissance française s'exprime à fond. L'artillerie Austro-bavaroise est quasi-réduite au silence.
Et bis répétita...Sauf que là, les Grenadiersà cheval se déploient, à pieds pour recevoir encore une charge.

Il est 15h...la bataille est fini pour de Wrède. Les français ont eu très peu de perte...surtout de la cavalerie grâce au bouche à feu austro-bavaroise.

Mais la victoire est totale pour Napoléon. La route de Francfort est libre, l'ennemi est en totale déroute ou est réfugié impuissant dans la citadelle d'Hanau.




mardi 10 décembre 2019

LdB - Non loin de Markkleeberg

Pour fêter l'anniversaire d'Austerlitz, il est de bon ton de faire un peu de Premier Empire.

Pour ce vendredi, nous arrivons à être 6 autours de la table, dont 2 nouveaux.
Pour le scénario, on va se situer du côté de Markkleeberg et Wachau en octobre 1813 (parce que j'ai les figurines, ça aide).
Les généraux en chef décident qui se place ou.
Le français est au nord,  avec Pajol (RV) au nord-ouest, Augereau (Manuelito) au Nord et Poniatowski au Nord-Est (Bob). Victor le général d'armée est également joué par Bob, car c'est plus amusant de laisser le commandement au nouveau venu.
Côté coalisé, je commande Pahlen III au Sud-Ouest, Gortchakov (Dim) est au centre, et sur l'aile gauche c'est Merveldt (Lenwelin). Et bien sur, c'est Dim qui commande l'armée avec Wittgenstein.


Les ordres sont :
Pajol s'avance vers le carrefour.
Augereau prend la colline.
Poniatowski fait une avance prudente. Il flanque surtout l'assaut d'Augereau.
Pour les coalisés, Merveldt doit prendre le village, Gortchakov la colline, et Pahlen III la colline aussi.
Photo au 2e tour :

 Pahlen III s'avance et se prépare au choc.
 Gortchakov tente en vain de mettre la grande batterie en position. Merveldt comme tout autrichien, avance prudemment.
Les Français d'Augereau sont sur la colline, et leur batterie est en position. Les polonais sont dans les bois et attendent de voir le mouvement autrichien.
 Tour 3 :
Voyant l'avance de Pajol, Wittgenstein change l'ordre de Pahlen III. Prenons la plaine !
La brigade prussienne de cavalerie (Dragon et Uhlan) au centre, Hussards russes à gauche, et carré russe à droite (qui viennent de repousser une charge un peu impétueuse de L'Héritier)...on est prêt à recevoir le choc des dragons français.

 Au centre, la grande batterie française fait des trous dans les rangs russes (ça doit expliquer le flou de la photo). Les russes avancent lentement, pourtant ils sont au maximum de leur possibilité. Les autrichiens prennent Wachau, et s'interrogent sur l'attitude à adopter ensuite.
 Tour 4 :
Les charges de cavaleries sont toutes à l'avantage des coalisés. Les hussards russes, ainsi que les cuirassiers prussiens ont été efficaces. Par contre l'infanterie de Mezensov doit reculer sous les coups de butoirs d'Augereau.
 Pas mieux du côté d'Hellfreich, qui doit reculer. D'autant plus que la grande batterie coalisée n'est toujours pas mis en place. Fort heureusement, Alois de Lichtenstein, repousse la cavalerie d'Uminski polonaise sur l'extrême droite, et Lederer va pouvoir sortir du village (et se prend les tirs de la grande batterie française).
Tour 5 :
Wittgenstein arrive non seulement à lancer Merveldt en avant, mais également à mettre la grande Batterie en position.
De son côté Victor ordonne à Pajol de se retenir, et lance Augereau en avant.
L'affaire est simple pour Victor. Poniatowski doit tenir, et Augereau doit percer sur le russe qui devient de plus en plus faible. Mais Pajol comprends mal l'ordre et se tient en défense. La cavalerie coalisé va emporter les brigades françaises. Seul Subervie dans cette affaire s'en sort...face à du cosaques. Pire, Milhaud tombe !
Au centre comme prévu, Gortchakov ne tient pas et doit reculer partout.
Sur la droite coalisé, Merveldt stagne, mais inflige des pertes importantes.

Tour 6 :
Pajol n'a plus que 3 malheureuses brigades réduites et fatiguées. Augereau est en bonne position, et Poniatoswki toujours solides. Mais la cavalerie de Pahlen III va réduire en miète l'aile droite française et peut déjà se retourner sur le flanc d'Augereau.
La Grande batterie coalisé peut enfin intervenir et soutenir l'avancée de Merveldt vers la colline.

La nuit tombe sur ce constat. Les Français doivent replier sous peine de perdre le corps d'Augereau.